LES ENVOÛTÉS  DU GOLFE de ABALO FERDINAND COCOU MEDAGBE
LES ENVOÛTÉS  DU GOLFE de ABALO FERDINAND COCOU MEDAGBE

LES ENVOÛTÉS  DU GOLFE de ABALO FERDINAND COCOU MEDAGBE

<<Dieu n’est jamais loin, le diable non plus.>> Les hommes sont constamment mis à l’épreuve. Et peu importe les circonstances, l’homme demeure ce qu’il est. Le diable est constamment à nos trousses. Comme le dit l’écrivain béninois Abalo Ferdinand COCOU MEDAGBE, il siège dans deux gourdes : la femme et l’argent. C’est ce qu’il nous montre sur 167 pages à travers son roman Les Envoûtés du Golfe publié aux Éditions La sélective de Cotonou. Ce roman tourne autour d’un thème qui comprime le ventre : La Tentation. 

LES ENVOÛTÉS  DU GOLFE de ABALO FERDINAND COCOU MEDAGBE

Qu’est-ce qui peut amener selon vous un prêtre à poser la soutane ou du moins à se rendre chez un féticheur ?

RÉSUMÉ DE L’ŒUVRE LES ENVOÛTÉS  DU GOLFE

Nymphéa est une jeune étudiante en licence de décoration et peinture, âgée de dix-huit ans. Elle est issue d’une famille modeste et dotée d’une beauté excessive attirant tous les mâles. Nymphéa, fille unique de ses parents, trottait un projet maléfique depuis son enfance : celui de découvrir ce qui se cache sous la soutane des prêtres. 

Nymphéa : une proie pour les prêtres 

C’est ainsi qu’elle  devint une proie pour les prêtres allant de  paroisse en paroisse suscitant la jalousie entre les curés. Des conflits éclatèrent entre les prêtres catholiques ce qui conduisit certains à même renoncer à leurs vœux. Parmi ceux-ci il y avait l’abbé Georges Donkoko Louja ami de l’abbé Simon-Eudes Ribozon. 

L’abbé Simon Eudes fut envoyé à Rome pour des travaux forcés. L’abbé Georges fut également affecté dans une zone reculée par l’évêque TRAPEZAN parce que la belle Nymphéa fréquentait de trop sa paroisse. Malheureusement l’abbé refusa puis posa sa soutane. Ce dernier en colère alla consulter son oncle qui l’emmena chez un féticheur.

L’abbé Georges chez le féticheur 

L’abbé Georges à l’aide du féticheur envoûta l’évêque TRAPEZAN. Malheureusement ce dernier fut assassiné par un groupe de brigands. Le célèbre Don Rébéard avait aussi fait une demande à Nymphéa qui refusa. Ce dernier profita du départ de Nymphéa pour la France pour incendier la maison où vivaient ses parents. 

Seul le père de Nymphéa survécut car il était au service. Toujours harcelé à cause de sa beauté en France, Nymphéa se déguisa puis se rendit à Dakar. Elle se couvrit de la tête aux pieds ne laissant voir que ses yeux. Elle rencontra Dieng, un médecin à qui elle se maria et eut une fille : Fatima. 

L’union de Nymphéa et de Dieng  

Dieng était un homme de courte taille, il avait longtemps tenté des liaisons, mais se retrouvait toujours seul. Alors après avoir rencontré Nymphéa qui se faisait appeler Mariam, il se promenait tout le temps avec elle à Koalock. Mis en garde par sa femme Dieng ne l’écoutait guère. Un jour à l’hôpital Nymphéa reconnu l’abbé Georges parmi les blessés. 

Exilé en France puis rapatrié au Sénégal, l’abbé Georges était gravement malade. Il succomba le même jour et fut enterré. Dieng présenta sa femme au député Sandou qui mit tout en place pour assassiner Dieng. Même voilée, Nymphéa attirait encore plus d’hommes. Sandou planifia alors l’assassinat de Dieng. Il empoisonna ce dernier au cours d’une réjouissance. 

La guerre fratricide dans la famille de Dieng pour Nymphéa

Du côté de la famille de Dieng, ses frères s’entre-tuèrent  également pour pouvoir épouser la belle Nymphéa sans oublier le député. Alors un soir, il tenta de violer Nymphéa. Le lendemain, celle-ci le dénonça et il fut emprisonné. Revenu des travaux forcés, l’abbé  Simon-Eudes rentra au bercail où il apprit le décès de l’évêque TRAPEZAN et la triste nouvelle de l’incendie de la maison des Gbènami. 

Il apprit par la bouche du père de Nymphéa que celle-ci était déjà mariée et vivait à Dakar. L’abbé Simon-Eudes se rendit alors à Dakar pour la rencontrer. Il faillit encore succomber une fois encore aux charmes de Nymphéa que la maternité a rendu encore plus étincelante. Nymphéa malheureuse à cause du nombre de morts qu’à causé sa beauté décida de  se marier au président Arcadius.

ANALYSE ET AVIS CRITIQUE SUR L’ŒUVRE

Le roman Les Envoûtés du Golfe de Abalo COCOU MEDAGBE est une œuvre très intéressante car abordant plusieurs thèmes. (La tentation, la politique, la jalousie, le fétichisme…) Dans ce roman, l’auteur nous montre que la femme et l’argent peuvent causer la perte de l’homme. 

A propos du niveau de la tentation 

À travers le personnage des prêtres, l’auteur montre jusqu’où peut mener la tentation. Démontrant ainsi que nul n’est à l’abri. Comme l’illustre le personnage de l’abbé Georges qui discutant avec Nymphéa affirme à la page 63 : << Ma chère sorcière, tu m’as envoûté ! >>. De telles paroles sortant de la bouche d’un homme de Dieu, amène à réfléchir. 

L’auteur nous montre à travers son ouvrage que les prêtres en dehors de la soutane sont également des humains. Cela s’illustre à travers les propos de Ismaël à la page 84 de l’œuvre : << C’est Dieu il va protéger les “ Mon Père ”. Un homme est un homme. Il n’est pas cailloux, il n’est pas bois.>>. 

Ce qui se passe dans la tête des religieux 

L’auteur conduit le lecteur sur un terrain inconnu mais surtout vers un sujet tabou:  Qu’est-ce qui se passe dans la tête des religieux ? Sont-ils immunisés contre la tentation, et les pulsions sexuelles ? L’auteur nous donne la réponse à ces questions et à beaucoup d’autres. 

Les propos de la sœur Marguerite discutant avec l’abbé Georges nous donne des réponses pertinentes : 

<< Ne t’es tu pas rendu compte que j’étais amoureuse de toi ? Ou bien tu es aveugle ou quoi ! >> p 111. Plus loin, elle explique à la même page : 

<< Comment dire ces choses qui sont des sujets tabous chez nous!..>>. 

Il faut dire que l’auteur lève le voile sur des réalités inconnues du grand public, qui peuvent paraître bizarres ou stupéfiantes. La tentation comme le montre l’auteur est à chaque fois à nos trousses, mais les religieux ou religieuses sont plus confrontés. Nul n’est à l’abri des désirs, même les religieux. 

On peut le voir à travers les propos de la sœur Marguerite à l’abbé Georges toujours à la page 111: 

<< Que tu me violes contre le mur ou sur ton bureau…. Sans me poser de questions !>>. Ou même l’abbé Simon-Eudes qui ne pouvant plus résister alla prié: 

<< Il alla directement s’agenouiller devant la statue de la Vierge Marie, ferma les yeux et les poings, la remercia de lui avoir donné la force et la pria de ne pas le laisser succomber. >> p 27. 

Histoire racontée avec un réalisme frappant 

Il faut également préciser que le réalisme de l’auteur est frappant. L’auteur balance au lecteur des images plein les yeux. Avec sa plume, Abalo COCOU MEDAGBE a voulu nous montrer que peu importe ce que fait l’homme ou ce qu’il devient, qu’il reste toujours homme. Être homme comme nous le montre l’auteur, ce n’est pas être immunisé mais plutôt lutter constamment. 

Comme le dit un adage: << Si tu t’arrêtes, tu es mort ! >>. Le génie de l’auteur rend son personnage principal accrochant, irrésistible, à tous. L’auteur aime capter l’attention, attirer, dominer, subjuguer, le lecteur. Il brise toutes armures d’insensibilité. On peut le voir à travers la description qu’il fait de son personnage principal à la page 40 de l’œuvre : 

<< À l’apparition de cette jeune femme, les hommes présents dont les Chefs d’États, enlevèrent leurs lunettes de soleil car ce matin là, il y en avait, pour mieux voir celle qui venait de descendre. >>. 

Le caractère de l’homme dans le livre de Abalo COCOU MEDAGBE

L’homme est un résistant, il tient jusqu’au bout, et est même prêt à tout faire pour satisfaire ses désirs, surtout s’il s’agit d’une femme. Les propos du Député Sandou Baye l’illustre à la page 149 de l’œuvre : 

<< Prends ces deux millions. Et je veux juste te voir nue. >>. 

Et ceci s’illustre de façon plus frappante lorsque le président Luc Allo d’Agouna écrit à Nymphéa à la page 42 de l’œuvre : 

<<Je ne retournerai pas dans mon pays tant que je ne t’aurai pas conquise, beauté.>>

Abalo COCOU MEDAGBE, mêlant plusieurs dimensions de la tentation à son intrigue, nous plonge dans bien d’autres univers comme celui politique. Il nous fait une caricature de l’attitude égoïste de certains dirigeants africains. On peut voir cela à travers l’affirmation du président Luc Allo d’Agouna à la page 39 : 

<< Tout ce qui intéresse l’africain, c’est qu’il remplisse son ventre et qu’il fasse ses petites affaires. Leur analphabétisme nous arrange. >>  

Le marionnettisme des dirigeants africains face à l’occident et à la France en particulier 

Les dirigeants africains sont comme des marionnettes que la France manipule. Cette vérité difficilement acceptable à cause des soi-disant indépendances est au chœur des échanges entre le personnage des présidents. L’auteur nous montre à travers son œuvre, en quoi consiste les accords reliant les Chefs d’États africains aux Chefs Occidentaux :

<< Nous Chefs d’États africains, nous avons formé un club. C’est une union sacrée sous le parrainage de nos Chefs Occidentaux. En échange, nous cédons nos ressources minières ou côtières. >> Président Luc Allo d’Agouna p.39. 

Mieux l’auteur montre également à quoi sert les pauvres économies des peuples entre les mains des dirigeants : 

<<Donnez à la demoiselle quinze millions pour se préparer…>> Président Luc Allo d’Agouna p44.

LES ENVOÛTÉS  DU GOLFE de ABALO FERDINAND COCOU MEDAGBE 4ème de couverture

LA PRÉSENTATION DU LIVRE LES ENVOÛTÉS DU GOLF  

L’ouvrage est composé d’un avertissement de l’auteur au lecteur, d’une dédicace, de vingt-trois (23) chapitres puis du nom de la maison d’édition, l’adresse mail de l’auteur,  du numéro de dépôt légal, de l’ISBN, puis de l’identité de la personne en  première de couverture. 

PRÉSENTATION DE L’OUVRAGE LES ENVOÛTÉS  DU GOLFE

L’ouvrage se présente avec une couverture verte ceinte d’une couleur chocolat. À la première de couverture, on voit le nom de l’auteur puis l’image d’une jeune femme souriante. Au bas de l’image se trouve le titre de l’œuvre puis complètement en bas dans l’angle droit le genre de l’œuvre. À la quatrième de couverture on retrouve une image de l’auteur, sa biographie puis le résumé de l’œuvre.

RAPPROCHEMENT DE LA COUVERTURE PAR RAPPORT AU THÈME

À partir de la première de couverture, affichant l’image d’une jeune femme souriante, on peut s’attendre à une intrigue dont la femme en est le nombril. Le sourire et la beauté du personnage peuvent s’expliquer comme l’origine de la tentation. 

La présence de perles autour de la main de la jeune femme peut être compris comme un effet de charme. Tout ceci illustrant ainsi le titre du roman : << Les Envoûtés du Golfe >>.

PRÉSENTATION DU STYLE D’ÉCRITURE 

Il est écrit dans un style réaliste simple, accessible à tous et plein d’humour.  L’usage de certaines expressions tirées de l’argot, ( merde, connards, walaï…) et certaines traductions littérales de la langue fon ( battre le pavé, regarder dedans, demander la maison…) contestualisent  plus l’œuvre. Les interjections, les cris ( hi hi hi , hoo, waouh,…) permettent au lecteur d’avoir une pénétration plus profonde de l’œuvre, de la vivre. 

Les malheurs de Nymphéa

Les malheurs de Nymphéa, le personnage principal, peuvent effleurer la sensibilité du lecteur. Sans oublier non plus les périples rencontrés par l’abbé Georges lors de son voyage clandestin à Paris qui amènent le lecteur à prendre conscience de la force qui réside en chaque homme. De cette arme qu’est la volonté et qui peut mener l’homme bien loin. 

L’auteur laisse également le lecteur voir la puissance de la prière à travers le personnage de Nymphéa et de l’abbé Simon-Eudes à la page 156. La prière qui est capable de sauver l’homme des tentations : <<Nymphéa se leva et se mit à genoux au pied de Simon Eudes…Elle joint ses deux mains comme une mante religieuse, ferma légèrement ses paupières et égrena des litanies.>>

Les religieux dans des conditions et positions communes à tout homme ordinaire

Cependant, il faut dire que l’auteur en présentant des religieux dans des conditions et positions communes à tout homme ordinaire ternit d’une certaine façon leur image. Et  il faut aussi souligner qu’il y a une présence d’une forte exagération dans l’œuvre. On peut illustrer cela précisément à la page 61 de l’ouvrage où l’évêque TRAPEZAN demanda : 

<<Nymphéa, es-tu un être humain ou une Déesse ? >> 

Puis l’auteur décrit la suite de la scène en disant que l’évêque s’était mis à genoux devant la jeune fille : 

<< Et il se mit à genoux face à la fille ! >>. 

Ou plutôt à la page 20 lorsque l’auteur dit : 

<< Le prêtre vit Nymphéa avancer vers lui et eut les maux de ventre. >>  

Plus loin on peut également voir cette exagération à travers le personnage de l’abbé Georges. Ce dernier  réclamant un baiser à Nymphéa à la page 68. Ou encore un peu plus en arrière à la page 56 où il décrit la scène de l’abbé Georges qui 

<<voulut reprendre Nymphéa par la hanche…>>. 

Il faut aussi souligner la présence des scènes de violences tel que l’assassinat de l’évêque TRAPEZAN, les luttes entre les frères du médecin Dieng et autres qui peuvent choquer la sensibilité des jeunes lecteurs.  

QUELQUES ADAGES OU PAROLES DE SAGESSE TIRÉS DU LIVRE

– << Diable là, il est trop fort aussi. >> p 83

– << Le premier mari de la femme c’est son travail. Son deuxième mari, c’est son enfant et en troisième c’est le mari lui-même ! >> p 91

– << Il est bon que la femme qui sait bien traire la vache soit donnée à un bon berger. >> p 143

– << Le fâ c’est notre bible. Il trouve solution à tous nos problèmes et il prédit l’avenir. >> p 140

– << Celui qui a gâté ton travail t’a tué. Si tu n’as pas travail, qu’est-ce que tu vas manger ! >> p 99

– << Si quelqu’un en te mordant le nez n’a pas fait attention à la morve, toi aussi en le mordant à l’anus ne craint pas la matière fécale ! >> p 79 

– << Sache que la beauté d’une femme est semblable à une fleur. Elle se fane avec le temps. >> p 31

– << Si Dieu m’a faite belle, c’est sûrement parce qu’il sait que je dois la monnayer et la distribuer tout autour de moi comme le soleil qui illumine la terre de ses rayons. >> p 31

– << Car derrière chaque Grotto, se cache un vampire. >> p 154

– << Tout le monde le fait , tout le monde sait, mais tout le monde fait semblant de ne rien faire et de ne rien savoir. >> p 138

– << Mon fils. Nous ne faisons rien sans Dieu. C’est lui qui donne la puissance. Ne te salit jamais les mains de sang ! Rétabli la justice, guéris et sauve >>. Dah Todji p 99.

Retenons de cette lecture qu’il n’y a rien de pire, de plus grave que la TENTATION. Elle détruit l’homme car l’homme n’est pas toujours en mesure de la fuir ou lui résister. La lecture de cette œuvre nous a également permis de voir la douleur et les souffrances auxquelles sont confrontées les religieux catholique. 

Mais surtout la puissance de la prière. Mieux on comprend aussi que la femme et l’argent ont une grande influence sur les hommes. Ils peuvent transformer des êtres raisonnables en “ fou ”, ou même des “ anges ” en  “ démons ”. 

BREF APERÇU SUR L’AUTEUR Abalo COCOU MEDAGBE

Abalo COCOU MEDAGBE est de nationalité béninoise, né le 31 octobre 1973 à Logozohè, commune de Savalou, dans les collines. Il est journaliste, comédien, metteur en scène, dramaturge, poète, consultant en Beaux-Arts. Il est le président de l’Association des Écrivains Avant-gardistes du Bénin et directeur de la compagnie de théâtre, l’Atelier L’AUTRE THÉÂTRE du Bénin.

Régis Mahougnon HANTAN, est poète, écrivain, slameur, musicien et chroniqueur à L'ivre Du Livre. Il est en deuxième année d’étude de la philosophie à l’UAC (Université d’Abomey-Calavi). 

Régis Mahougnon HANTAN, est poète, écrivain, slameur, musicien et chroniqueur à L’ivre Du Livre. Il est en deuxième année d’étude de la philosophie à l’UAC (Université d’Abomey-Calavi). 

Articles Similaires
Une femme à deux maris : Cosme OROU-LOGOUMA

Une femme à deux maris tel est le titre de la première pièce de théâtre publié par l’écrivain béninois Cosme Lire plus

LA CARTE MAÎTRESSE D’EDGARD-LANDRY

Chaque être contribue au développement de la société. C’est de la somme des efforts individuels que naît le progrès. Ceci Lire plus

Un kilo de piment chez ZAINAB’S (nouvelles) de Adélaïde FASSINOU

Un kilo de piment chez ZAINAB’S est un recueil de neuf (09) nouvelles écrit par l’écrivaine béninoise Adélaïde FASSINOU. Publiée Lire plus

Consencratie de Juste Codjo

Les modèles de gouvernance en Afrique sont à repenser. C’est un fait. Les difficultés de développement économique, la recrudescence des Lire plus

La femme sans nom : Patrick Demory

Les erreurs de jeunesse sont des fantômes qui hantent les adultes durant toute leur existence. Il existe de ces adultes Lire plus

LE CONCLAVE DES TREIZE DÉMONS : Alphonse Montcho

L’ombre du zombie il y a quelques années, et aujourd’hui, un conclave de démons. Treize pour être précis. Il aime Lire plus

Le chemin : Assandé Franck DIBY 

Le chemin de l’auteur Assandé Franck DIBY raconte une histoire qui commence à N’zué, un village de la ville de Lire plus

La science de mon grand-père : Edmond Batossi 
Vient de paraître "La science de mon grand-père" de Edmond Batossi

Tout artiste est fils de son temps. Lorsque l’écrivain soulève sa plume pour peindre les maux ainsi que les travers Lire plus

Les rêves de Fati : Richard Adodjevo 

Les rêves de Fati de Richard ADODJEVO est un livre dont le récit prend corps chez la famille Damagui. Un Lire plus

Tous les hommes désirent naturellement savoir : Nina Bouraoui 

Dans le monde, il existe de ces personnes qui ont dû braver les torrents des critiques afin de se faire Lire plus

3 commentaires

  1. Ping :Billet de Hervé-Mélaine AGBESSI : Spinoza; La toute puissance du libre arbitre ! - L'ivre Du Livre

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Share via
Copy link