Lettre à mon Président. Un livre que l’on ouvre comme une lettre. Une lettre que l’on lit comme un cri. Un cri qui vous serre la gorge dès les premières lignes et ne vous lâche plus. Ce livre de Tossoukpe Frédéric Herman n’est ni une plainte, ni un règlement de comptes, encore moins un discours partisan. C’est une lucidité mise à nu, un miroir tendu au pays tout entier. Entre douleur et espérance, entre révolte intime et amour profond du Bénin, l’auteur entraîne dans un dialogue sincère avec la nation.
Ce livre parle de nous. Il parle de vous. Il parle du Bénin tel qu’on le vit, tel qu’on l’endure, tel qu’on le rêve. Osez tourner la première page. Vous n’oublierez pas ce que vous y lirez. Vous ne pourrez plus refermer ce livre comme s’il ne vous concernait pas. Comme si le pays ne vous regardait pas. Car une fois commencé, il se transforme en conscience. Et peut-être… en déclic.

Un livre nécessaire. Vital. Courageux.
Monsieur le Président,
Monsieur le citoyen,
Monsieur ou Madame qui tenez ce livre entre vos mains,
Ce livre n’est pas un pamphlet. Ce n’est pas un brûlot rédigé dans la colère ou l’amertume. Ce n’est pas non plus un éloge flatteur destiné à séduire les puissants. C’est une lettre. Une lettre ouverte, écrite avec le cœur et la raison, avec la sincérité d’un citoyen qui aime son pays et refuse de le voir vaciller entre espoir et désillusion.
J’ai écrit ce livre parce que je crois en mon pays. Parce que je suis convaincu que la politique ne devrait pas être une affaire de calculs froids et d’intérêts personnels, mais un engagement profond pour le bien commun. Parce que je refuse d’accepter le silence comme une fatalité, et que la parole, lorsqu’elle est portée avec respect et honnêteté, peut être un levier puissant pour l’évolution d’une nation.
J’ai écrit ce livre parce que j’ai mal au Bénin.
Parce que dans les rues de Cotonou, de Porto-Novo, de Parakou ou dans les villages reculés, je vois un peuple qui lutte, qui souffre en silence, qui peine à joindre les deux bouts alors que le pays avance à grands pas sur le papier. J’ai écrit parce que j’ai rencontré des jeunes diplômés, brillants et pleins de rêves, mais enfermés dans le labyrinthe du chômage, désillusionnés face à un futur incertain.
Parce que j’ai vu des commerçants pleurer devant l’augmentation des prix, des familles choisir entre payer l’école de leurs enfants ou leur prochain repas. J’ai entendu des travailleurs se demander si le mérite a encore un sens, si les efforts individuels peuvent réellement être récompensés ou si les portes sont déjà verrouillées par des jeux d’influence et des privilèges.
J’ai écrit aussi parce que les voix s’étouffent. Parce qu’une peur sourde s’installe dans les cœurs. J’ai vu des citoyens hésiter avant de s’exprimer, peser leurs mots, comme si la liberté de penser devenait une audace risquée.
Mais j’ai aussi écrit ce livre parce que tout n’est pas noir.
Parce que j’ai vu des routes naître là où il n’y avait que de la poussière. Parce que j’ai vu des infrastructures modernes émerger, des réformes être mises en place avec ambition, et une volonté claire de transformer le pays. Parce qu’il y a eu des avancées que personne ne peut nier.
Et pourtant, l’éclat de ces progrès semble parfois aveugler ceux qui gouvernent. Comme si le béton des infrastructures pouvait à lui seul cacher les fissures sociales. La réussite d’un pays ne se mesure pas uniquement à ses statistiques économiques ou à ses édifices flambant neufs. Elle se mesure avant tout au bien-être de son peuple.
Un peuple qui, malgré les réformes et les promesses, continue de se battre pour le pain quotidien, pour une place dans la société, pour une justice qui ne penche pas selon la couleur politique ou le poids financier.
Un cri d’amour, pas une clameur de colère
Dans ces pages, je veux dresser un portrait fidèle du Bénin d’aujourd’hui : celui des réussites et des échecs, des espoirs et des frustrations. Ce livre se veut le reflet des voix trop souvent étouffées, de ceux qui n’ont pas accès aux tribunes, de ceux qui subissent les décisions sans pouvoir les influencer.
Il ne s’agit pas d’une simple critique. Il ne s’agit pas non plus d’un discours partisan. Il s’agit d’une réflexion honnête et d’un regard lucide sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.
C’est un dialogue que j’aimerais avoir avec vous, Monsieur le Président. Mais aussi avec chaque Béninois, qu’il soit jeune ou âgé, urbain ou rural, partisan ou opposant. Car après tout, nous sommes tous concernés. Gouvernants et gouvernés, nous partageons le même destin, et c’est ensemble que nous devons bâtir le Bénin de demain.
Donner la parole à ceux qu’on n’entend pas
Nous parlerons de cette jeunesse béninoise, instruite mais désabusée, qui voit ses rêves s’effriter face au manque d’emplois et d’opportunités. De ces jeunes qui se demandent s’ils doivent partir pour réussir ou rester pour survivre.
Nous parlerons de justice — cette justice qui devrait être le socle de toute démocratie, mais qui parfois semble une balance déséquilibrée. Nous évoquerons la méritocratie, trop souvent éclipsée par le clientélisme, et les libertés individuelles, qui ne devraient jamais être des privilèges mais des droits fondamentaux.
Nous regarderons de face la vie chère, l’inflation galopante, et les choix douloureux que des milliers de familles doivent faire entre se nourrir, se soigner ou éduquer leurs enfants.
Mais surtout, nous ne nous contenterons pas de dénoncer. Car dénoncer sans proposer, c’est entretenir le chaos. Nous ouvrirons des pistes, nous réfléchirons ensemble aux solutions, pour que le progrès ne soit pas un slogan, mais une réalité partagée.
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Un appel à l’espoir et à l’action
Ce livre n’est pas un simple constat. C’est un appel.
- Un appel à la lucidité et à la transparence.
- Un appel au dialogue entre le pouvoir et le peuple, sans mépris ni peur.
- Un appel à bâtir un Bénin où chacun a sa place, où l’opposition n’est pas un ennemi mais une voix complémentaire, où la société civile est une force et non une menace.
Je rêve d’un Bénin où la prospérité ne s’évalue pas uniquement dans les chiffres, mais dans les visages sereins des mères, dans la confiance des jeunes, et dans l’assurance des travailleurs qui savent que leurs efforts ne seront pas vains.
Monsieur le Président, Messieurs et Mesdames les citoyens, ouvrons les yeux ensemble. Voyons les réussites, mais aussi les blessures.
Ce livre est un cri, mais un cri d’amour.
L’amour d’un pays. L’amour d’un peuple.
Puissiez-vous le lire avec la même sincérité avec laquelle je l’ai écrit.
Titre : Lettre à mon président
Auteur : Tossoukpe Frédéric Herman
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