Crépuscule du tourment : Léonora Miano
Crépuscule du tourment : Léonora Miano

Crépuscule du tourment : Léonora Miano

« C’est à l’ombre que s’épanouissent certaines douleurs. C’est dans le silence que fleurissent ces obsessions qui deviennent le moteur et le tracé de nos existences. » C’est à travers ces phrases que Léonora Miano lève le voile sur la condition de la femme africaine. Pour survivre dans une société dite moderne où les croyances sont de plus en plus éprouvées, il faudrait qu’elle prenne d’abord conscience de sa condition et décide ensuite de la transformer. La colonisation a contribué à la fragilisation des liens entre les familles africaines mais surtout à la mort progressive du cœur des femmes. Elle illustre cela dans son roman  Crépuscule du tourment publié aux Éditions Grasset en 2016. Sur 237 pages, Léonora Miano nous dévoile les poids qui pèsent sur les femmes.

I- Analyse de la couverture de l’œuvre et impressions

La première de couverture du roman Crépuscule du tourment de Léonora Miano, nous offre sur un fond gris l’image d’une femme de dos ayant un tissu noué autour de la tête. Son regard est orienté vers la droite. L’expression de son regard exprime l’attente. On aurait dit qu’elle attend un signe, un événement capable de transformer quelque chose dans le cours de son existence. Le nom de l’auteur ainsi que le titre de l’œuvre apparaissent sur l’image suivie de la maison d’édition qui est située au bas de page.

D’abord à partir du titre de l’œuvre, l’auteur a une idée du contexte de déroulement de l’histoire. Si l’on doit identifier l’intrigue de l’œuvre à travers une décomposition du titre de l’ouvrage, on voit que le crépuscule désigne le moment qui précède la nuit. Ce moment où la nature commence à s’assombrir momentanément. A partir de ce nom on peut dire qu’il peut s’agir dans l’œuvre du déclin d’une époque, d’une révolution. Le tourment peut prendre ici une acception de violence, de souffrance et même de torture. L’association des deux noms qui forment ainsi le titre de l’œuvre retrouve tout son sens. Le titre exprime l’illusion d’une tranquillité, une incertitude, une accalmie annonciatrice d’un début de souffrance de peine. L’image de la couverture représentant une femme vient confirmer d’une certaine manière l’hypothèse selon laquelle il peut s’agit d’un vent annonciateur de la douleur corporelle, des peines de la femme noire.

II- Résumé du roman Crépuscule du tourment de Léonora Miano

Madame, Amandla, Ixora et Tiki, sont trois femmes dont les destins se sont trouvés mêlés. Elles ont été marquées chacune à sa manière par les affres de la colonisation mais plus encore par les hommes qui ont eu à partager leur vie. Issus d’une famille qu’on qualifierait d’anormale, Tiki et son frère ont supporté pendant une trentaine d’années la violence qu’exerçait leur père sur leur mère. Après son baccalauréat, le fils de Madame décida d’aller poursuivre ses études au Nord du pays rompant ainsi le lien avec la terre de ses ancêtres et leurs pratiques qu’il qualifiait de rétrogrades. Revenu au bercail après quelques années avec Ixora une femme du Nord que sa mère n’appréciait guère, le jeune couple devrait supporter la rigidité de Madame. Les jeunes femmes, chacune à leur tour, racontaient les guerres qu’elles se sont livrées ainsi que les peines que leur a infligées les hommes.

Madame écrivait à son fils, une lettre dans laquelle elle lui racontait ce qu’a été sa vie pendant son absence mais surtout les souvenirs qu’elle garde de son fils ainsi que ses déceptions (le départ de son fils ainsi que celui de sa fille pour le Nord). L’une de ses déceptions est le départ de son fils pour le Nord. Un départ qui selon elle illustre la lâcheté de son fils qui a décidé de fuir au lieu de rester dans son pays natal afin de changer le cours de l’histoire. Elle confesse à son fils ses souffrances, ses errances ainsi que ses luttes pour perpétuer l’histoire ainsi que la tradition dans l’esprit des plus jeunes. Elle s’est fait initier aux secrets des anciens mais n’a pu achever son apprentissage à cause de sa haine envers la race blanche. Madame rappelle à son fils les erreurs de ce dernier ; parmi celles-ci la plus grande est celle d’avoir ramené dans la famille une femme du Nord qui ne savait rien de leurs us et coutumes. Elle conta comment elle procéda pour mettre fin à leurs liaisons puisque la femme de son fils était selon elle une  »femme sans histoire ».

Amandla quant à elle, originaire du même pays que le fils de Madame raconte comment celui-ci lui brisa le cœur. Elle rencontra Ixora quand celle-ci était à deux doigts de succomber  suite aux coups du fils de Madame. Elle la recueillit chez elle et la soigna.

Ixora raconte sa rencontre avec le fils de Madame et ce qu’elle a enduré dans le pays de celui-ci. Leur union qui n’était fondée que sur une illusion, s’est vite effritée à cause des bagarres et disputes incessantes. Ils se sont mis ensemble parce que le fils de Madame perdit son ami. Son ami qui était l’époux d’Ixora. Ne voulant donc pas abandonner la veuve ainsi que l’orphelin de son ami, il les prit sous son toit. Malheureusement Ixora finit par découvrir la véritable identité de celui avec qui elle avait décidé de vivre. La souffrance ainsi que les humiliations dont elle a eu droit à creuser en elle un trou béant qui ne trouverait satisfaction que dans la séparation. Cette séparation lui rapprocha d’Amandla, l’ancienne fiancée du fils de Madame. Une séparation qui va lui également lui permettre de découvrir Masasi, la tresseuse de Madame avec qui elle vécue des expériences inoubliables.

Tiki, ayant vécu avec sa mère et son frère et ayant supporté la violence qu’exerçait leur père sur leur mère, conseilla à cette dernière de fuir. Elle découvrit lorsqu’elle était encore jeune, Sisoko la matriarche du village et amie de sa mère avec qui elle entreprit de découvrir les secrets de sa mère. Sisoko lui enseigna l’art d’explorer son corps par elle-même tout en étant indépendante des hommes Elle partit également au Nord rejoindre son frère, laissant leurs traditions dont le chemin a été mal tracé par leurs ancêtres.

III- Analyse et avis sur le roman Crépuscule du tourment de Léonora Miano

Léonora Miano dans ce roman nous présente les démons intérieurs et extérieurs contre lesquels la femme africaine lutte incessamment. Depuis des décennies, la femme africaine a toujours été marginalisée et reléguée au second rang dans les sociétés africaines. Elle est considérée la plupart du temps comme un être inférieur à l’homme, un « sexe faible ». La femme africaine est quotidiennement soumise aux lois implacables et rigides de la tradition. Pourtant elle est et demeure celle grâce à qui la pérennisation des valeurs et principes si chers à l’Afrique est effective. La femme est soumise dans les sociétés africaines à un conditionnement qui altère sa dignité d’être humain. En se fondant sur des pseudos règles et pratiques ancestrales, les hommes ont contribué à la matyrisation de la femme, œuvrant ainsi pour la déposséder de tout ce qui fait d’elle un être d’émotion, une créature sensible. L’homme lui a ravi le droit à la parole faisant ainsi d’elle une créature servile qui ne se plie qu’aux quatre volontés d’un mâle effronté et imbu de sa physiologie. Le coup de grâce que lui a asséné la société africaine est relatif à l’expression de ses émotions. Une femme moulée dans le moule de la tradition africaine devrait se garder de laisser paraitre ses émotions, elle doit les enterrer dans son être. Cette tâche est pourtant très ardue et la femme à force de ne pas exprimer son ressentir finit toujours par fondre sous leur poids. Quand cela arrive, la société est déjà prête pour lui dresser la liste des attitudes qui font d’elle un être fragile et faible. C’est cette réalité invisible que nous présente Léonora Miano dans son roman lorsqu’elle affirme à la page 5 : « Sous ces latitudes où le ciel n’est ni un abri ni un recours, être femme, c’est mettre à mort son cœur. Si l’on n’y parvient pas, il faut au moins le museler. Qu’il se taise. Le tenir en laisse. Qu’il ne nous entraîne pas où bon lui semble. Le dresser à n’obéir qu’à la raison. ». Lorsque la femme se marie, la société a à son endroit des attentes ; attentes auxquelles elle est parfois contrainte de satisfaire au risque de se voir écarter. Parmi ces attentes réside la progéniture. Une femme incapable de conçevoir après le mariage est considérée comme une fainéante ou le plus souvent comme une sorcière. Dans les sociétés en général et celles africaines en particulier, lorsqu’un enfant nait, il porte le nom de son géniteur et non celui de sa mère. Or l’enfant est issu de l’union de deux différents êtres. Un être humain porte en lui l’identité de ses deux géniteurs et donc pour se présenter, il devait mentionner le nom de ses deux géniteurs. Malheureusement avec l’adoption du patriarcat, le pouvoir du père qui est souvent considéré comme le chef de la famille prime sur celui de la mère qui est vu comme inconsistant. Léonora Miano explique dans son œuvre que l’instauration du patriarcat qui accorde plus de valeur au patronyme, a contribué au bouleversement de certaines réalités africaines : « Avant l’établissement d’un patriarcat allogène qui imposa le pouvoir du patronyme, l’être s’inscrivait, de toute façon, dans deux lignées. L’obligation lui était faite, pour se présenter aux humains comme à la divinité, de convoquer ceux à travers lesquels il était venu parmi les vivants. » pp.22-23.

Léonora Miano à travers le personnage de Madame, explique l’impossibilité pour l’homme de renoncer à son identité. Dans l’œuvre, le fils de ce personnage ayant refusé de vivre sous les fers de la tradition, s’est installé au Nord et avait coupé tous liens avec les siens. L’auteur explique qu’un individu ne peut rompre avec ses origines puisqu’elles sont une partie de lui. Pour changer une situation dite inconfortable pour son épanouissement, l’homme doit pouvoir prendre patience, apprendre à vivre avec et chercher ensuite le moyen d’y remédier. Fuir n’a jamais été la solution pour résoudre un problème ; au contraire pour résoudre un problème il faut l’affronter, le transcender. Il n’y a que les hommes qui soient en mesure de transformer leurs sociétés. Entrer donc en conflit avec les us et coutumes de ces sociétés n’est pas le chemin adéquat à emprunter. L’auteur affirme à la page 23 de son roman que : « Entrer en conflit avec une part inaliénable de soi-même est un combat perdu d’avance. Tu ne divorceras pas du sang qui coule dans tes veines. Ce n’est pas ainsi qu’il faut s’y prendre, pour habiter une identité jugée inconfortable. ». Le concept de l’égalité dans la société africaine est d’une certaine façon sans acception. Les lois ainsi que les principes traditionnels se chargent d’illustrer l’absurdité de ce concept. Dans la société traditionnelle africaine, il n’y a pas que les hommes qui jouissent de l’autorité. Certaines femmes y ont également droit et le nombre plutôt réduit de ces types de ces dernières n’est plus à démontrer. Que ce soit la soumission des nouvelles épouses aux anciennes ou encore à leur belle-mère, l’égalité reste à définir et elle n’existe nulle part dans les sociétés africaines. Léonora Miano nous apprend que : «  Ici, chacun sait que l’égalité n’est pas dans la nature. Autrement, les doigts de la main auraient tous la même taille ».p.26. La société africaine est loin d’être parfaite et comme nous l’avions dit plus haut, nombreux sont les jeunes qui s’insurgent de plus en plus contre les traditions et règles de leur milieu. Au pire des cas, ces derniers quittent simplement la terre qui les a vues naître. Léonora Miano nous dit à travers le personnage de Madame que ce ne sont pas les plaintes et les révoltes des jeunes qui feront changer le cours des choses mais plutôt leur engagement. Elle dit : « Si tu as à redire, ne te plains pas du monde que t’ont laissé tes aînés. Ceins-toi la taille, empoigne le chasse-mouches, bats-toi pour ce en quoi tu crois.». p.30.

Le degré de l’acculturation des africains connaît de plus en plus une hausse considérable. Ces derniers se passent de plus en plus des valeurs dans lesquelles ils sont nés. Á force d’imiter les occidentaux, les africains ne ressemblent plus à rien. Ils sont devenus des êtres instables ; sans culture. Ces africains ont contribué à la métamorphose de la société africaine, une société qui est désormais en  pleine marche vers le capitalisme. Le besoin de possession de biens et du pouvoir n’ont fait que croître et cela a engendré la pauvreté de leur culture personnelle. Les africains vivent selon le modus vivendi occidental mais n’ont pas le temps pour enrichir leur savoir afin de mieux se connaître eux-mêmes. Léonora Miano fait ce constat désolant et affirme à la page 43 : « Les riches du  siècle n’ont ni manières ni éducation. Jamais ils n’ouvrent un livre, ne possèdent pas de bibliothèque. Tout ce qu’ils savent, c’est le prix des choses. Alors, ils se couvrent jusqu’à l’asphyxie d’effets de marque. Quoi qu’ils fassent, on les reconnaît. Ils parlent, marchent, agissent comme ce qu’ils sont.». Toutes les unions ne sont pas destinées à durer. En effet, la durée d’un mariage dépend de l’engagement et de la qualité de la relation entre les partenaires. Si le but du mariage est de rester ensemble jusqu’à ce que la mort sépare les partenaires, l’auteure explique que la qualité d’un mariage n’est pas toujours signe de pérennité de ce dernier. L’homme étant de nature ondoyante, devient de jour en jour et ses besoins, et ses désirs changent aussi. En d’autres termes, Léonora Miano explique que la séparation qui intervient dans les couples est parfois un mal nécessaire, une situation face à laquelle les individus ne peuvent rien : « quelle que soit la qualité de la relation entre mère et père, toutes les unions ne sont pas fécondes.».p.50.

Bien que la colonisation a introduit de grands changements dans les sociétés africaines, elle n’a pas cependant totalement anéantir la preuve de l’africanité des africains. Avec l’avènement des noms français, Léonora Miano se désole de voir les africains portés des noms qui n’ont aucune réalité avec leur identité. Cela n’est pas pour autant dramatique car comme elle le dit, il y a souvent après le prénom de baptême chrétien ou musulman un prénom traditionnel. Ce dernier est notre identité secrète ; celle à travers laquelle se révèle notre être. L’auteure affirme à la page 71 : « Nous avons des noms cachés. Des noms secrets dont la vibration préserve ce que nous sommes. Nous nous rebaptisons parfois de façon officielle. ». Plus loin l’auteur explique à travers le personnage de Madame le devoir des parents qui est d’œuvrer afin que les enfants n’oublient pas leur origine africaine. Les parents doivent constituer pour les enfants des modèles qui puissent leur permettre d’apprendre à accepter qui ils sont et à ne pas renier leur véritable identité. Accepter de porter la marque d’identité d’un autre peuple, c’est accepter la défaite, mieux c’est courber l’échine devant les autres peuples, montrer qu’on reconnaît leur culture et qu’on s’y soumet. Cette attitude d’acceptation de la marque identitaire culturelle d’autrui est la preuve qui illustre l’acceptation de l’aliénation par les peuples africains. Les africains n’accordant pas de valeur à leur culture, s’affublent de noms creux d’acception qui n’apportent aucune avancée pour leur culture : « C’est comme un jeu au début. Le temps passant, ils finissent par habiter leur nouvelle identité. Ils comprennent que c’est important. Qu’il est impossible de se présenter au monde vêtu d’un déguisement. Toutes les définitions que nous connaissons de nous-mêmes aujourd’hui ne parlent que d’aliénation. Elles disent notre acceptation de la défaite. Nos défections devant notre destinée. Notre long refus des responsabilités qui nous incombent. ». p. 73.

Léonora Miano appelle dans son œuvre, les africains à prendre conscience de qui ils sont et à pleinement assumer leur responsabilité. Les africains ont pour la plupart du temps habilité à pointer du doigt les autres lorsqu’ils sont dans le malheur. Cette attitude peut être vue comme  commune aux hommes ; mais elle ne permet en rien aux africains de reprendre en mains leur destin. Refuser d’assumer sa responsabilité, c’est refuser d’être libre et les africains aiment rester soumis aux autres. Elle affirme : «on aime bien dire que ce sont les autres, les auteurs de nos actes, les responsables de nos choix, on aime bien refuser d’être libres. ».p. 143.

Le roman Crépuscule du tourment de Léonora Miano est composé de quatre chapitres consacrés à quatre femmes (Madame, Amandla, Ixora et Tiki), d’un glossaire et d’une bibliographie. A travers un style soigné impliquant des procédés narratifs et d’emprunts argotiques à une variété de langues, Léonora Miano a su montrer les poids sous lesquels ploie la femme africaine. L’ouvrage est accessible à tous et écrit dans un langage clair et compréhensible. L’emploi des mots et nom Fon (Aligossi, Agoodjié…) des expressions issues du camfranglais, une langue qui mêle trois différentes langues à savoir le français, l’anglais et une variété de langues camerounaises (Elobi, Deny, Boogie…), témoigne de la richesse linguistique de l’auteure et fait de l’œuvre une œuvre qui repousse les barrières linguistiques. Un livre dans lequel tous les africains pourront se reconnaître.

Bref aperçu sur l’auteure

Née le 12 mars 1973 à Douala au Cameroun, Léonora Miano est une femme de lettres de nationalité franco-camerounaise. Elle est auteurs de plusieurs romans et a reçu de nombreux prix à savoir : Le Prix Goncourt des lycéens en 2006 pour son roman Contours du jour qui vient, Le Grand Prix Littéraire d’Afrique noire pour l’ensemble de son œuvre, et enfin le Prix Femina en 2013 pour son roman La saison de l’ombre. Elle fut Chevalière de l’ordre des Arts et des Lettres en 2014.

Voici quelques-uns de ces ouvrages :

L’intérieur de la nuit, Roman, Plon, 2005

Contours d’un jour qui vient, Roman, Paris, Grasset, 2006

Ces âmes chagrines, Roman, Plon, Grand Prix d’Afrique, 2011

La saison de l’ombre, Roman, Paris, Grasset, 2013

Rouge impératrice, Roman, Paris, Grasset, 2019

Crépuscule du tourment : Héritages, Tome 2, Roman, Paris, Grasset, 2016

L’impératif transgressif, Essai, L’Arche, 2016…

Régis M. HANTAN

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