Ah ! Les femmes… de Isaïe BITON Koulibaly
Ah ! Les femmes… de Isaïe BITON Koulibaly

Ah ! Les femmes… de Isaïe BITON Koulibaly

Il existe de toutes les créatures, une qui ne cesse de susciter de l’émerveillement. Pour plusieurs, la femme est la plus merveilleuse des créatures que Dieu ait fait. Se référant au mythe de la création qui stipule qu’avant sa création l’homme fut mis en sommeil, il ne fait aucun doute que cette créature représente un véritable mystère. Ah ! Les femmes…, c’est à travers ce titre bien surprenant qu’Isaïe BITON Koulibaly (IBK) nous embarque pour un voyage, un voyage au cours de laquelle nous sommes conviés à tous nous inscrire à l’école de la femme. Ah ! Les femmes… est un recueil de nouvelles publié en 2012 aux Nouvelles Editions Numériques Africaines. Isaïe BITON Koulibaly sur 98 pages, nous aide à approfondir nos connaissances sur cette fontaine, cette source de vie et d’amour mais également de mort qu’est la femme. 

Ah ! Les femmes… de Isaïe BITON Koulibaly

Présentation de la couverture et impressions

Le recueil de nouvelles Ah ! Les femmes… d’Isaïe BITON Koulibaly, se présente sur un agréable fond blanc et violet. Cette première de couverture, de par son illustration, charme et subjugue le lecteur. Elle constitue un indice qui creuse plus profondément la soif du lecteur, la soif de dévorer à belles dents cette œuvre. 

Cette première de couverture présente sur une belle brillance, deux illustrations ou du moins deux parfaites images d’une femme au délicieux teint café. Un teint qu’on ne retrouve que sous les tropiques ! 

La première illustration plus réduite, nous laisse voir le beau sourire d’une femme en robe de soie, vêtue d’un haut noir laissant entrevoir son merveilleux cou auquel pendait un pendentif en or. Juste à côté en version plus grande, la même femme offrant toujours son sourire mais cette fois-ci à un être qui se cacherait plutôt à l’autre bout du fil puisque son téléphone à l’oreille donne à la première de couverture toute sa sublimité. Une sublimité qui cache une sensualité que son regard et ses lèvres ne tardent pas à dévoiler au lecteur, l’invitant ainsi pour un voyage paroxystique à travers l’œuvre.

Par la couverture en premier mais aussi à travers le titre, le lecteur peut s’attendre à un aller dont le retour lui sera beaucoup douloureux. Mieux : de par la couverture, le lecteur pourrait s’attendre à une intrigue houleuse, époustouflante et grandiose qui le plongerait dans les abysses les plus profonds de cet être si mystérieux et pourquoi pas de la féminité ! 

Résumé du recueil de nouvelles Ah ! les femmes… d’Isaïe Biton Koulibaly

Ah ! Les femmes…, est un recueil de quatorze (14) houleuses nouvelles qui offre un tableau des différentes façons de perception de la femme. 

Dans la première nouvelle, l’auteur raconte l’histoire d’un couple vivant en parfaite harmonie jusqu’au jour où la femme fut nommé Ministre du Travail et des Affaires Sociales. Une nouvelle qui devrait propulser la famille dans les firmaments, n’est-ce pas ? 

Si cette nouvelle surpris l’époux, il ne tardera pas à se réjouir pour sa femme qui n’était qu’une simple présidente des femmes musulmanes du pays. Que dit le Coran du mariage ou mieux du divorce ? Une femme promue ne devrait-elle pas faire le bonheur de son couple ? Mieux de son mari ? 

L’étrangère, la deuxième nouvelle apprend que les apparences mentent et que même si l’on prétend que toutes les femmes de son pays sont mauvaises, c’est justement parce que l’homme pense que la trahison, le mensonge et ses corollaires ne sont que l’apanage des femmes de son milieu. Chercher à épouser une femme à l’extérieur qu’est-ce ? 

Si dans la deuxième nouvelle la quête de la meilleure épouse pousse l’homme à chercher une en dehors de son pays, la trahison peut conduire dans la troisième nouvelle une femme à abandonner enfants et mari parce qu’elle a trahit ce dernier. La fuite est-elle le meilleur remède contre le déshonneur ? 

La beauté, le statut, et l’apparence qui semblent pourtant des indicateurs de perfection, ne demeurent que pure chimère. Si les médias vendent le rêve à propos de ces stars tant admirées suscitant une soif insatiable, il ne faut pas oublier que ces êtres qui s’affichent à la télé sont comme des humains possédant leurs défauts et leurs qualités. 

Isaïe BITON K. appelle à la prudence dans la nouvelle L’héritière. Combien d’hommes ne renoncent-ils pas à eux-mêmes juste pour posséder une femme ?  

Dans la cinquième nouvelle La vraie vie de Nan Albertine, si la convoitise et l’envie à l’excès doivent être régulées, le statut social n’est pas un signe de sainteté. Combien de cadavres moisissent dans les tiroirs des personnes influentes, pire des femmes ? 

La cantatrice est le titre de la sixième nouvelle de l’œuvre. Si l’argent et le pouvoir gouvernent le monde, alors tous ceux qui en ont, possèdent la terre entière. Moriba qui ne possède aucun de ces maitres suscités, mais vivant une vie bien noble ne représente pour sa femme que la cinquième roue d’un carrosse après le succès de cette dernière. 

L’argent et le pouvoir peuvent transformer une femme soumise en rebelle et annihilés l’autorité d’un homme. Qu’est-ce qui a transformé Bintou autrefois soumise à son époux, aux traditions et principes ancestraux en une femme méconnaissable ? 

Comme dans la nouvelle précédente et d’ailleurs dans toutes les nouvelles, l’argent et le pouvoir sont les facteurs qui ont changé beaucoup de destin mais ont également détruit plusieurs vies.

La nouvelle intitulée PDG, conte l’histoire d’un homme bien nanti qui grâce à sa richesse et son pouvoir trompait allègrement son épouse. Comment Damien a-t-il réussi à faire croire à son épouse que sa secrétaire Annick (qui est sa maîtresse) est sa cousine ? Comment l’épouse de Damien accueillit-elle la nouvelle selon laquelle son époux est l’auteur de la grossesse de sa soi-disant cousine ?

La nouvelle Le balayeur, conte l’histoire de Nabila un balayeur de rue ayant vécu à l’époque coloniale qui se désole du caractère prématuré des indépendances en Afrique. Après les indépendances, les nouveaux patrons noirs ne se comportaient guère comme les anciens patrons (les Blancs). 

Avec les crises dues aux mauvaises gestions des patrons noirs, la vie devenait de plus en plus chère. Comment Nabila, l’éternel solitaire réussit-il à se trouver une épouse en cette période si ardue ? A-t-il réussi à réaliser son vœu d’avoir un enfant malgré le fait qu’il remettait tout son salaire à son épouse ?

Le serment à la suite des autres nouvelles, conte l’histoire de Maty et Youmaty qui s’étant juré fidélité depuis l’enfance, furent confronté à moult situations. Situations au cours de laquelle, Youmaty est demeuré fidèle à sa bien-aimée. La fidélité de la femme est-elle envisageable sans l’expression de la masculinité de l’homme ? La femme peut-elle éternellement demeurée fidèle à l’homme ? 

Dans la nouvelle L’Abbé Jean-Baptiste, l’auteur présente l’intrigue d’un professeur de littérature africaine mais qui est également un écrivain. Ce dernier étant célibataire travaillait chez lui avec quelques-uns de ses élèves. Brigitte, l’une de ses plus brillantes élèves, s’intéressait à lui puisque cherchant à connaître les raisons qui expliquent le fait que malgré son âge, le professeur n’était pas encore marié. 

C’est alors au cours de leur séance de travail que le jeune professeur devint accro à la jeune fille. Cette dernière également ne cessait de surprendre le professeur par son appétit sexuel et son changement radical. Comment une jeune élève de terminale comme Brigitte, si belle et rayonnante pouvait-elle être mère de deux enfants dont le père est un homme en soutane ? 

Mon dernier amour, est le titre de la onzième nouvelle dans laquelle l’auteur conte l’aventure de Bintou, mère de six enfants qui après son échec au Brevet du Premier Cycle rencontra un jeune homme qui s’occupa d’elle et lui permit de poursuivit ses études en devenant secrétaire dans une grande entreprise. Malheureusement après cela, Bintou abandonna le jeune homme et se lança dans la course aux grands hommes. Même après le mariage, Bintou ne cessait de fréquenter d’influents hommes ce qui conduisit son père à la maudire. Bintou serait-elle morte à cause de ses innombrables trahisons ? 

Dans la nouvelle La femme d’un autre, l’auteur raconte l’histoire d’un jeune écrivain marié épris d’une femme mariée qui convainquit cette dernière de quitter son époux avec ses enfants, chose que la femme fit. Comment la femme a-t-elle réussit à quitter son époux ? Y a-t-il une explication de l’attirance qu’un homme ressent envers une femme mariée ? Comment la femme parvient-elle à avoir un ou plusieurs amants à l’insu de son époux ? 

La voyante est l’intitulé de la treizième nouvelle du recueil Ah ! Les femmes… L’auteur y raconte l’histoire de Rachel mais à travers elle l’histoire des hommes et des femmes. Le personnage principal fut abattu, découragé de voir que malgré tous ses efforts Rachel (une étudiante) sa fiancée le trompe avec un autre malgré ses efforts.     

L’amour d’une femme est le titre de la quatorzième et dernière nouvelle dans laquelle l’auteur raconte l’histoire de Aicha. Aicha est une jeune ravissante femme mariée à Victor Karim un employé de service. Paul Moussa est le patron de l’époux de Aicha et fut également leur témoin de mariage. 

Ce dernier après avoir découvert le charme de la femme de son employé lors de leur mariage ne pouvait plus s’arrêter de penser à elle. Pour mieux mettre en pratique son projet d’arracher la femme de son employé, Paul Moussa envoya Victor Karim en mission pour quelques mois. 

Paul Moussa réussira-t-il à convaincre Aicha de quitter Victor Karim pour lui ? Quelles ont été les stratégies et démarches mises en place par Paul Moussa pour arracher l’épouse de son employé ? 

Études de quelques thématiques tirées du recueil de nouvelles Ah ! les femmes… d’Isaïe biton koulibaly 

Le recueil de nouvelles Ah ! Les femmes... d’Isaïe BITON K. en dehors de sa thématique générale qui est la femme, aborde également plusieurs autres thématiques qui transparaissent dans les différentes nouvelles. Au nombre de ces thématiques, nous pouvons citer : 

La femme : C’est la thématique majeure de toute l’œuvre. L’auteur ne cache pas ses avis et sa conception de la femme. La femme, telle que décrite dans tout le recueil par l’auteur est une merveilleuse créature. Un être qui apporte une stabilité et une tranquillité dans la vie d’un autre qui est l’homme. 

Toutefois, l’auteur ne laisse pas transparaitre dans son œuvre que la femme est toute parfaite. Au contraire, il attaque la femme dans tous les aspects pas dans une dynamique misogyne mais plutôt dans le sens d’un appel. Un appel à une prise de conscience mais aussi un déchantement. Les femmes se font passer la plupart du temps comme des victimes mais nul ne voit ce qu’endure l’homme. 

La femme, elle est un grand mystère. Si on peut le dire, la femme est une énigme enveloppée de mystère à l’intérieur d’un secret. C’est d’ailleurs ce qui explique les interjections et les soupirs de l’auteur dans ses nouvelles et même d’où le titre du recueil : AH ! LES FEMMES… 

Il ne faut pas oublier que la femme est également représentée dans le recueil par l’auteur comme un être doué de qualités et d’incroyables potentialités. Juste le titre de la dernière nouvelle de l’œuvre montre la place que l’auteur accorde à la femme et les qualités qu’il voit en elle : L’amour d’une femme. 

« Même décapité, Victor Karim restera mon premier et dernier mari. » p 97 L’amour d’une femme. 

La trahison : C’est une thématique qui apparaît de façon transversale dans l’œuvre car au chœur de la plupart des différentes intrigues. La trahison dans l’œuvre comme dans la réalité n’est l’apanage d’aucun sexe. Elle est courante chez les hommes comme chez les femmes. On peut voir cette trahison dans les nouvelles telles que : Le divorce selon le Coran, L’étrangère, Abiba, la trahison, et bien d’autres nouvelles. 

« Hier soir, j’ai été voir un docteur et il me l’a confirmé. Deux mois de grossesse. Depuis trois mois, nous n’avions pas eu de rapports sexuels. J’ai un amant. » p.28 Abiba, la trahison.

« Ce n’est pas ton enfant ! Dégage, espèce d’impuissant bâtards ! Mon avocat se chargera de te remettre les documents relatifs au divorce. » p.34 L’héritière. 

L’indépendance :  À travers cette thématique, l’auteur nous montre que le besoin de liberté, de s’accomplir, de se réaliser soi-même et par-dessus tout de s’autogérer, est un besoin vital dont tout être a besoin. Que ce soit l’indépendance vis-à-vis des règles de la tradition, de ses parents, de son époux ou de sa femme, il est indéniable que tout être tôt ou tard demande son indépendance. Et ceci est plus fréquent dans l’Afrique coloniale où la plupart des Etats africains demandaient à prendre leur autonomie. La nouvelle qui montre plus cela, est la huitième nouvelle intitulé Le balayeur :

 « Pour moi, l’Indépendance signifiait la catastrophe tombant sur nos têtes. » p 57

L’amour : Dans ce recueil de nouvelles, l’auteur présente les différentes acceptions ou appréhensions de l’amour. Si l’amour est une émotion, il n’est pas toujours ce qu’on imaginait ou ce à quoi l’on s’attendait. A travers les personnages de son œuvre, l’auteur déchante le lecteur à propos de l’amour mais lui prouve également que le véritable amour est loin d’être une chimère. 

« Maty, je t’aime toujours. Tu m’as trahi, mais je continue de t’adorer. Je te pardonne. Reprenons notre vie conjugale. » p 67 Le serment. 

L’écriture : L’auteur cherche à montrer dans son œuvre le caractère fort, la force ou du moins la valeur qu’il accorde à l’écriture. On peut également dire que de par ce thème, il donne le privilège au métier d’écrivain dans lequel se retrouve presque la plupart de ses personnages masculins.

« J’écrivais très peu. Balzac avait vraiment raison de dire qu’une nuit d’amour est un roman en moins. » p.71 L’abbé Jean-Baptiste. 

« Je marche, à la recherche de l’inspiration. Ce soir même, je dois commencer mon prochain roman. » p.81 La femme de l’autre.  

La littérature : Dans son recueil de nouvelles, l’auteur en dehors du fait de montrer la valeur ou l’importance de l’écriture montre que l’écriture conduit à la littérature. Il est important de rappeler que la culture africaine et par surcroît la littérature africaine regorge d’œuvres pleines d’aloi. Une littérature que l’on ne doit pas laisser mais dont à travers sa personne, il fait la promotion. 

«  Dans ma classe, j’ai trois œuvres africaines au programme. « Doguicimi », de Paul Hazounmè. Pour moi, c’est le plus grand chef-d’œuvre de la littérature africaine. » p.68 L’abbé Jean-Baptiste. 

Bref apercu de l’auteur

Isaïe BITON Koulibaly est un romancier et nouvelliste ivoirien né le 7 juin 1949 à Abidjan-Treichville (Côte d’Ivoire) et mort dans la même ville le 10 novembre 2021.

Il est spécialisé dans la littérature de genre (fantastique, romance, etc.) et un des auteurs les plus lus en Côte d’Ivoire. Auteur de nombreux ouvrages à succès, il est le directeur général de Kora Livre. Correspondant du magazine féminin international Amina magazine, il a une chronique hebdomadaire dans Go Magazine intitulée «  Savoir aimer ». Il est marié et père de trois enfants. 

Bibliographie

– Comment aimer un homme africain, Roman 2006

– La bête noire, 2008

– Et pourtant elle pleurait, 2005

– Le lit est tout un mariage, 2009

– La parenthèse délicieuse, 2012

– Mon mari est un chauffeur de taxi, 1997

–  Christine,  Roman 2008

– Au nom du désir, Nouvelles 2003

– Le drap parfumé, Nouvelles 2017

– Les deux amis, Nouvelles 1978

– Les désoeuvrés du crépuscule 2016

– Et pourtant elle pleurait, 2005

– Merci l’artiste, 1999

– Encore les femmes : toujours les femmes, 1995

– Les piments de la nuit: Chronique sur l’art, 2016

– Le domestique du Président, 1982…

Régis M. HANTAN est poète slameur, écrivain, flutiste, rédacteur web et chroniqueur littéraire à L’ivre du Livre. Il est également philosophe de formation à l’Université d’Abomey-Calavi (UAC).

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