LES 110 RÈGLES D’OR DU TRAVAIL sous-titrés un code de réussite professionnelle est une œuvre de développement personnel de Richard TEMPLAR. Il est édité chez Éditions MARABOUT en 2008. Dans cet ouvrage l’auteur donne des techniques et astuces pour être à la fois efficace et efficient dans son travail. C’est un ouvrage à lire absolument par toute personne qui travaille, qui aime travailler ou qui veut travailler et en profiter pleinement.
Le gourou américain du management, Peter DRUCKER, fait la distinction utile entre efficience et efficacité. L’efficience, c’est l’aptitude à bien faire le travail. L’efficacité, c’est l’aptitude à faire le bon travail.
Votre patron vous dira comment bien faire le travail, mais c’est à vous de trouver quel est le bon travail. Cela demande de regarder le monde en dehors de notre organisation, ce dont il a besoin, de quelle manière ses besoins évoluent et ce que votre entreprise doit faire pour survivre et prospérer.
Extrait du livre
J’ai commencé à formuler LES 110 RÈGLES DE TRAVAIL il y a de nombreuses années, alors que j’étais directeur adjoint. Il y avait un recrutement en cours pour le poste au dessus du mien, celui de directeur, et deux candidats possibles. Rob et moi-même.
Je disposais, sur le papier, de plus d’expérience, de plus d’expertise, du soutien de la majeure partie du personnel pour ce poste et, de manière générale, je connaissais mieux le travail. Pour être honnête Rob était nul.
Je bavardais avec un consultant qui travaillait pour la société et lui demandais quelles étaient mes chances. « Faibles », répond-il. J’en suffoquais.
Je lui parlais de mon expérience, de mon expertise et de mes capacités supérieures. « Oui », répondit-il, « mais vous ne feriez pas un bon directeur » « Et Rob ? » » Rob ferait très bien l’affaire. »
Inutile d’ajouter qu’il avait entièrement raison et que Rob eut le poste. Je dus travailler sous la responsabilité d’un crétin qui savait comment occuper ce poste. Je me mis à étudier son attitude avec attention.
Le consultant avait mis dans le mille : il existait une attitude de directeur. Je commençais à remarquer que chaque employé avait sa propre manière de se comporter en fonction du poste qu’il occupait :
Les réceptionnistes d’une certaine manière, de même que les caissières, le personnel de la restauration, les employés de bureau, le personnel administratif, le personnel de la sécurité : sans oublier les directeurs, bien entendu.
Je commençais à m’entraîner à acquérir l’attitude et l’état d’esprit de directeur, en secret.
EBAGNE BEKEMEN SÉVERIN