Le 25 juillet marque la naissance d’un lauréat du Prix Nobel de littérature, Elias Canetti, dont les œuvres ont questionné le pouvoir et les dynamiques collectives, tout en soulignant la disparition d’un poète romantique majeur, Samuel Taylor Coleridge. Ce jour met en lumière des écrivains passionnés par le langage, la foule, la critique et l’imaginaire.

📘 Publications majeures
(Aucune parution historique majeure spécifique à cette date, les figures associées étant toutefois de forts repères intellectuels.)
🎂 Naissances
- 25 juillet 1905 – Elias Canetti, né à Ruse (Bulgarie). Lauréat du Nobel de littérature 1981 « pour ses écrits marqués d’une grande richesse d’idées et d’un pouvoir artistique ». Auteur de Die Blendung (La Dérision) et de l’essai Crowds and Power, il a profondément renouvelé la réflexion sur les foules, l’autorité et la psychologie collective.
🕯️ Décès
- 25 juillet 1834 – Samuel Taylor Coleridge, mort à Highgate (Londres). Poète romantique anglais, co-auteur avec Wordsworth du recueil Lyrical Ballads, père de The Rime of the Ancient Mariner et de Kubla Khan, et critique influent. Il a introduit des notions fondamentales sur l’imagination et la « suspension of disbelief ».
🌍 Repères francophones et africains
Elias Canetti, bien que germanophone, a vu ses œuvres traduites en français, touchant les intellectuels francophones et africains — notamment en explorant la psychologie des foules et du pouvoir, sujets emblématiques pour les littératures postcoloniales et leur regard sur l’autorité.
Les traductions de Coleridge ont enrichi les lettres francophones dès le XIXᵉ siècle, ouvrant un dialogue romantique toujours présent en poésie contemporaine, y compris dans le monde francophone africain.
📜 Repères historiques
(Pas d’événement culturel littéraire majeur enregistré directement le 25 juillet, mais la dualité naissance/mort donne une amplitude historique marquante.)
Le 25 juillet nous renvoie à la pensée de Elias Canetti, poète de la foule et philosophe du pouvoir, récompensé par le Nobel, et au génie romantique de Samuel Taylor Coleridge, maître du lyrisme et de l’imaginaire; deux figures complémentaires — l’une sociopolitique, l’autre poétique — qui nourrissent le dialogue universel des lettres.
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