Le livre GESTION PRÉVISIONNELLE ET VALORISATION DES RESSOURCES HUMAINES de L. MATHIS est un ouvrage didactique de 280 pages. Il a été publié chez Les Éditions d’Organisation en 1982. Dans ce livre, l’auteur présente deux facettes de la réussite d’une entreprise : la gestion prévisionnelle de manière globale et la valorisation des ressources humaines.
L’objectif de cet ouvrage est essentiellement : De susciter une réflexion sur les problèmes posés par la nécessité pour l’entreprise qui veut survivre. Le but visé par l’auteur de livre est aussi d’apprendre à l’entreprise à s’adapter à l’évolution de son environnement.
L’ouvrage vise aussi à montrer comment la gestion prévisionnelle du personnel est au cœur des différentes politiques de développement d’une organisation. Il s’accentue sur comment la gestion prévisionnelle des cadres, en particulier, peut être à la fois l’une des stratégies de cette adaptation. Elle constitue, dans l’intérêt de l’entreprise et de son personnel, une politique de valorisation permanente des ressources humaines de l’entreprise.
La gestion prévisionnelle et la valorisation des ressources humaines facilitent la tâche de ceux qui ont la responsabilité de la fonction personnelle. Elle leur propose non seulement une certaine conception de cette gestion, mais également une méthode et des moyens permettant de l’appliquer.
Pour L. MATHIS, les chances d’une entreprise reposent sur sa compétitivité qui garantit ses débouchés. Son adaptabilité sociale favorise son ajustement avec son environnement. Dans le fait, si une entreprise est adaptée, incapable de répondre aux attentes de ses partenaires sociaux, sa compétitivité est freinée. Sa vie est de ce fait en danger.
Pour faire simple, MATHIS nous fait comprendre dans cette œuvre qu’on ne gère pas le personnel toujours de la même façon. Elle varie selon l’ossature de l’organisation. Ainsi, une politique spécifique doit être adoptée pour chaque type de société. Une entreprise peut être conçue exclusivement comme un outil économique dont l’efficacité se mesure par le rendement, et le succès par le profit.
Une autre se voudrait essentiellement une cellule sociale. Le but de celle-ci serait d’assurer au travers d’un objectif économique le bien être et l’épanouissement des hommes. La gestion prévisionnelle et la valorisation des ressources humaines doivent être strictement différentes dans ces différentes organisations.
EBAGNE BEKEMEN SÉVERIN